Shows watched in 2024.
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Everything Is Well (2023)
s1. 01/24. [S]
Superbe casting pour une série plutôt réussie ! On suit ici le quotidien d'une famille dont la petite fille, Rose, est atteinte d'une leucémie. Sa maladie et son hospitalisation ont des conséquences sur tout son entourage, chacun réagissant comme il le peut face à cette nouvelle dévastatrice. La série se suit avec grand plaisir, mais j'en ai trouvé l'optimisme un peu forcé. Dans le dernier épisode, par exemple, Rose va mieux et peut rentrer chez elle alors qu'il ne lui restait que quelques heures à vivre dans l'épisode précédent. Je comprends l'envie de désamorcer la bombe et d'offrir du "feel good", mais cela est peu crédible. Un série sympathique.
Superbe casting pour une série plutôt réussie ! On suit ici le quotidien d'une famille dont la petite fille, Rose, est atteinte d'une leucémie. Sa maladie et son hospitalisation ont des conséquences sur tout son entourage, chacun réagissant comme il le peut face à cette nouvelle dévastatrice. La série se suit avec grand plaisir, mais j'en ai trouvé l'optimisme un peu forcé. Dans le dernier épisode, par exemple, Rose va mieux et peut rentrer chez elle alors qu'il ne lui restait que quelques heures à vivre dans l'épisode précédent. Je comprends l'envie de désamorcer la bombe et d'offrir du "feel good", mais cela est peu crédible. Un série sympathique.
vanessa's rating:
Icon of French Cinema (2023)
s1. 01-02/24. [S - arte.tv]
Très prometteuse sur le papier, la série de Judith Godrèche se révèle assez inégale. L'idée - revenir sur ses débuts dans le milieu du cinéma alors que sa fille est attirée par son chorégraphe - est excellente, mais l'exécution peine notamment en raison d'un problème de ton. La série se veut légère, et elle l'est, mais cela dessert son propos, d'autant que certaines blagues sont clairement lourdes. Une série moyenne. Dommage.
Très prometteuse sur le papier, la série de Judith Godrèche se révèle assez inégale. L'idée - revenir sur ses débuts dans le milieu du cinéma alors que sa fille est attirée par son chorégraphe - est excellente, mais l'exécution peine notamment en raison d'un problème de ton. La série se veut légère, et elle l'est, mais cela dessert son propos, d'autant que certaines blagues sont clairement lourdes. Une série moyenne. Dommage.
vanessa's rating:
s5. 02-03/24. [DVD] [médiathèque]
Je revenais à Gilead sans grande conviction, mais cette saison s'est avérée plutôt réussie. June a retrouvé Luke, Moira et Nicholle à Toronto, mais les Canadiens ne supportent plus la présence des réfugiés américains, Serena est envoyée comme ambassadrice à Toronto avant d'etre traitée comme une handmaid par une famille de dingues, quant à Hannah... elle est toujours "prisonnière" à Gilead. Contrairement à ce que l'on aurait pu croire, ce n'est donc pas la saison de la tranquillité. Les différentes storylines sont plutôt bien menées, notamment celles qui confrontent June et Serena. La fin est assez inquiétante, avec les deux femmes et leurs enfants dans un train en partance pour l'ouest alors que Luke est arrêté par la police canadienne pour le meurtre de l'agresseur de June. Assez impatiente de voir la saison suivante, qui semble-t-il sera la dernière.
Je revenais à Gilead sans grande conviction, mais cette saison s'est avérée plutôt réussie. June a retrouvé Luke, Moira et Nicholle à Toronto, mais les Canadiens ne supportent plus la présence des réfugiés américains, Serena est envoyée comme ambassadrice à Toronto avant d'etre traitée comme une handmaid par une famille de dingues, quant à Hannah... elle est toujours "prisonnière" à Gilead. Contrairement à ce que l'on aurait pu croire, ce n'est donc pas la saison de la tranquillité. Les différentes storylines sont plutôt bien menées, notamment celles qui confrontent June et Serena. La fin est assez inquiétante, avec les deux femmes et leurs enfants dans un train en partance pour l'ouest alors que Luke est arrêté par la police canadienne pour le meurtre de l'agresseur de June. Assez impatiente de voir la saison suivante, qui semble-t-il sera la dernière.
vanessa's rating:
De Grâce (2023)
s1 (minisérie). 03/24. [S - arte.tv]
Trafic de drogue sur les docks, secrets de famille, traite d’êtres humains, cette mini-série brasse beaucoup de sujets et n'évite pas toujours les clichés. On suit la famille Le Prieur, dont le père, docker en lutte contre le trafic de drogue, est assassiné à la fin du premier épisode. On découvrira ensuite ses secrets, mais aussi les failles des siens. Les personnages des fils de Pierre m'ont semblé bien caricaturaux, entre l'ainé qui s'est toujours senti rejeté par son père qui est devenu cocaïnomane et participe au trafic de drogue et le petit dernier qui traine avec les dealers de la cité et enchaine les idioties, heureusement qu'il y a la fille, devenue avocate à Paris. La série est un peu faible au niveau de l'écriture, certaines situations sont too much dont cette fin imbécile.
Trafic de drogue sur les docks, secrets de famille, traite d’êtres humains, cette mini-série brasse beaucoup de sujets et n'évite pas toujours les clichés. On suit la famille Le Prieur, dont le père, docker en lutte contre le trafic de drogue, est assassiné à la fin du premier épisode. On découvrira ensuite ses secrets, mais aussi les failles des siens. Les personnages des fils de Pierre m'ont semblé bien caricaturaux, entre l'ainé qui s'est toujours senti rejeté par son père qui est devenu cocaïnomane et participe au trafic de drogue et le petit dernier qui traine avec les dealers de la cité et enchaine les idioties, heureusement qu'il y a la fille, devenue avocate à Paris. La série est un peu faible au niveau de l'écriture, certaines situations sont too much dont cette fin imbécile.
vanessa's rating:
s1 (minisérie). 12/22-03/24. [S - netflix]
Comme il s'agit d'épisodes indépendants, je les ai regardés petit à petit, d'où la longue période de visionnage. Les différents univers décrits ne font pas dans l'horreur pure, mais plutôt dans le gothique ou le glauque. Un peu difficile de donner une appréciation globale car beaucoup de temps s'est écoulé entre le visionnage du premier et celui du dernier épisode.
Comme il s'agit d'épisodes indépendants, je les ai regardés petit à petit, d'où la longue période de visionnage. Les différents univers décrits ne font pas dans l'horreur pure, mais plutôt dans le gothique ou le glauque. Un peu difficile de donner une appréciation globale car beaucoup de temps s'est écoulé entre le visionnage du premier et celui du dernier épisode.
vanessa's rating:
s1. 03/24. [DVD] [médiathèque]
s2. 03-04/24. [DVD] [médiathèque]
Un régal cette première saison de L'opéra ! On y pénètre dans les coulisses de cette grande maison, aux cotés de Zoé, danseuse étoile sur le point d’être renvoyée, et Flora, jeune surnuméraire racisée qui rêve d'intégrer l'école de danse de l'Opéra. Deux personnages complexes, chacune avec ses fêlures, que l'on prend énormément de plaisir à voir évoluer et danser au contact de leurs "collègues", dont notamment Sébastien, le tout nouveau directeur (qui n'est pas sans rappeler Benjamin Millepied) chargé de mettre en place une réforme du statut des étoiles. La série, très documentée, sait être prenante et ne donne qu'une envie... se rendre à l'Opéra voir un ballet !
J'ai directement enchainé avec la saison 2 et même si le démarrage est un peu lent, l'ambiance Palais Garnier est toujours là. Cette fois, c'est une ancienne danseuse et professeure de danse de Nanterre, Diane Taillandier, qui sème le trouble. Elle intègre l'opéra, briguant le poste laissé vacant par Sébastien, et donne des cours aux élèves, qui n’apprécient pas tous ses méthodes. Ce personnage infect est magnifiquement joué par Anne Alvaro, qui lui donne tout l'épaisseur nécessaire pour ne pas en faire une caricature. Son arrivée permet d'aborder les questions du harcèlement moral, de la libération de la parole, de l'excellence et des limites à poser pour s'en sortir. Encore une belle saison, qui voit évoluer Zoé, Flora, Aurore, Valentin et les autres. J'espère vivement une 3e saison !
s2. 03-04/24. [DVD] [médiathèque]
Un régal cette première saison de L'opéra ! On y pénètre dans les coulisses de cette grande maison, aux cotés de Zoé, danseuse étoile sur le point d’être renvoyée, et Flora, jeune surnuméraire racisée qui rêve d'intégrer l'école de danse de l'Opéra. Deux personnages complexes, chacune avec ses fêlures, que l'on prend énormément de plaisir à voir évoluer et danser au contact de leurs "collègues", dont notamment Sébastien, le tout nouveau directeur (qui n'est pas sans rappeler Benjamin Millepied) chargé de mettre en place une réforme du statut des étoiles. La série, très documentée, sait être prenante et ne donne qu'une envie... se rendre à l'Opéra voir un ballet !
J'ai directement enchainé avec la saison 2 et même si le démarrage est un peu lent, l'ambiance Palais Garnier est toujours là. Cette fois, c'est une ancienne danseuse et professeure de danse de Nanterre, Diane Taillandier, qui sème le trouble. Elle intègre l'opéra, briguant le poste laissé vacant par Sébastien, et donne des cours aux élèves, qui n’apprécient pas tous ses méthodes. Ce personnage infect est magnifiquement joué par Anne Alvaro, qui lui donne tout l'épaisseur nécessaire pour ne pas en faire une caricature. Son arrivée permet d'aborder les questions du harcèlement moral, de la libération de la parole, de l'excellence et des limites à poser pour s'en sortir. Encore une belle saison, qui voit évoluer Zoé, Flora, Aurore, Valentin et les autres. J'espère vivement une 3e saison !
vanessa's rating:
It's a Sin (2021)
s1 (minisérie). 04/24. [S] [francetv.net]
Quelle série ! It's a sin suit un groupe de potes de 1981 à 1991 dans le Londres gay. Des moments d'euphorie liés à la possibilité d’être soi-même aux premiers temps du Sida, il n'y a malheureusement qu'un pas. La série reste tout au long de ses cinq épisodes sur le fil entre partage de beaux moments d'amitié et d'amour et couperet du sida. Les personnages sont tous finement écrits, à tel point que l'on s'y attache quasi immédiatement. La tristesse n'en est que plus grande quand certains d'entre eux meurent de ce satané virus qui a décimé toute une génération de jeunes hommes (notamment). A voir.
Quelle série ! It's a sin suit un groupe de potes de 1981 à 1991 dans le Londres gay. Des moments d'euphorie liés à la possibilité d’être soi-même aux premiers temps du Sida, il n'y a malheureusement qu'un pas. La série reste tout au long de ses cinq épisodes sur le fil entre partage de beaux moments d'amitié et d'amour et couperet du sida. Les personnages sont tous finement écrits, à tel point que l'on s'y attache quasi immédiatement. La tristesse n'en est que plus grande quand certains d'entre eux meurent de ce satané virus qui a décimé toute une génération de jeunes hommes (notamment). A voir.
vanessa's rating:
s1 (minisérie). 04/24. [DVD] [médiathèque]
Jodie Comer, alias la grande Vilannelle, joue ici Ivy, une jeune femme de 26 ans qui réussit à s'échapper des griffes de son kidnappeur après 13 ans de captivité. On y suit sa "réinsertion" dans sa famille et plus largement sa vie d'avant, mais tout a terriblement changé en 13 ans. Parallèlement, les policiers essaient de comprendre ce qui lui est arrivé et de retrouver le kidnappeur, qui vient d'enlever une petite fille. Avec tous ces ingrédients, la série pourrait être haletante, pourtant elle ne l'est pas vraiment. Elle oscille œuvre plutôt du côté de la psychologie, faisant d'Ivy son plus grand mystère. Cela est plutôt bien fait, d'autant que Jodie Comer sait parfaitement jouer de la poker face mais certains événements semblent parfois un peu too much. Intéressant malgré tout.
Jodie Comer, alias la grande Vilannelle, joue ici Ivy, une jeune femme de 26 ans qui réussit à s'échapper des griffes de son kidnappeur après 13 ans de captivité. On y suit sa "réinsertion" dans sa famille et plus largement sa vie d'avant, mais tout a terriblement changé en 13 ans. Parallèlement, les policiers essaient de comprendre ce qui lui est arrivé et de retrouver le kidnappeur, qui vient d'enlever une petite fille. Avec tous ces ingrédients, la série pourrait être haletante, pourtant elle ne l'est pas vraiment. Elle oscille œuvre plutôt du côté de la psychologie, faisant d'Ivy son plus grand mystère. Cela est plutôt bien fait, d'autant que Jodie Comer sait parfaitement jouer de la poker face mais certains événements semblent parfois un peu too much. Intéressant malgré tout.
vanessa's rating: