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This song is from the album Innerquake - www.phoebekilldeer.com/
C'est la deuxième session qu'on tourne avec Phoebe Killdeer et ce n'est pas du tout volontaire mais on n'aurait difficilement plus différent au niveau du cadre par rapport à celle qu'a tourné Renaud. A la pénombre d'un petit studio succède la lumière d'une fin d'après-midi aux retours des beaux jours et une rue de la butte Montmartre, miraculeusement déserte, où l'on aperçoit de temps en temps dans l'arrière-plan les aller-retours du funiculaire.
Pas vraiment le cadre le plus intimiste qui soit, et pourtant... la magie opère de la même manière, la voix envoutante de Phoebe vous fait bien vite oublier l'endroit et vous enveloppe dans l'univers troublant, presque lynchien de son album Innerquake. On était d'ailleurs curieux de voir comment un disque aussi rock pouvait se transposer en acoustique, quand l'une des choses qui vous séduit immédiatement sur le disque c'est d'abord le son des guitares électriques.
Et en fait, cela semble tout naturel, une vieille Gibson acoustique sous les doigts de Cédric ça n'a de pas de leçons à recevoir de ses sœurs aux charmes plus amplifiées et même si la gestuelle de Phoebe est plus limitée que d'habitude (elle est en fait juste au bord d'un escalier), il suffit de suivre le mouvement de ses mains, les expressions qui traversent son visage, pas doute de l'énergie et le feeling y sont, un peu plus intériorisés mais tout aussi prenants.
C'est la deuxième session qu'on tourne avec Phoebe Killdeer et ce n'est pas du tout volontaire mais on n'aurait difficilement plus différent au niveau du cadre par rapport à celle qu'a tourné Renaud. A la pénombre d'un petit studio succède la lumière d'une fin d'après-midi aux retours des beaux jours et une rue de la butte Montmartre, miraculeusement déserte, où l'on aperçoit de temps en temps dans l'arrière-plan les aller-retours du funiculaire.
Pas vraiment le cadre le plus intimiste qui soit, et pourtant... la magie opère de la même manière, la voix envoutante de Phoebe vous fait bien vite oublier l'endroit et vous enveloppe dans l'univers troublant, presque lynchien de son album Innerquake. On était d'ailleurs curieux de voir comment un disque aussi rock pouvait se transposer en acoustique, quand l'une des choses qui vous séduit immédiatement sur le disque c'est d'abord le son des guitares électriques.
Et en fait, cela semble tout naturel, une vieille Gibson acoustique sous les doigts de Cédric ça n'a de pas de leçons à recevoir de ses sœurs aux charmes plus amplifiées et même si la gestuelle de Phoebe est plus limitée que d'habitude (elle est en fait juste au bord d'un escalier), il suffit de suivre le mouvement de ses mains, les expressions qui traversent son visage, pas doute de l'énergie et le feeling y sont, un peu plus intériorisés mais tout aussi prenants.