I LIKE BATS | Trailer

Polish actor/director Grzegorz Warchol (THREE COLORS: WHITE) helms this 1986 production that combines splashes of black comedy with jolts of old-school horror for a slyly contemporary take on the female bloodsucker mythos. Katarzyna Walter stars as a happily single young vampire who works in her aunt’s curio shop when not feeding on various suitors, stalkers, and sleazebags. But when she falls for a handsome psychiatrist and checks into his luxury sanitarium to cure her condition, she’ll discover that love may be the ghastliest curse of all.

With incredible neo-noir lighting, architecture ranging from Eastern Bloc chunkiness to melodramatic spires, antique trinkets, a masked ball, colourful secondary characters and even an orange dune buggy (!), I LIKE BATS—now scanned in 2K from the 35MM negative—is a fun, kooky movie that manages to soak up its gothic influences while never losing sight of the absurdist humour at its core. As one character toasts, “Laughter is healthy… even death wears a smile.” – Kier-La Janisse and Gary Hertz


L’acteur polonais Grzegorz Warchol (TROIS COULEURS : BLANC) a réalisé ce film de 1986 mariant comédie noire et horreur à l’ancienne afin d’aborder le mythe du vampire au féminin. Katarzyna Walter incarne une jeune vampire volontairement célibataire, qui travaille à la boutique de bric-à-brac de sa tante lorsqu’elle ne suce pas le sang de divers prétendants, harceleurs et salopards. Mais lorsqu’elle tombe amoureuse d’un beau psychiatre et accepte de se faire admettre à son sanatorium, supposément pour trouver une cure à sa condition, elle découvre que l’amour est possiblement la plus terrible des malédictions.

Avec d’incroyables éclairages néo-noir, une architecture allant des bâtiments typiques du bloc de l'Est aux clochers mélodramatiques, des bibelots anciens, un bal masqué, des personnages de soutien colorés et même un dune buggy orange (!), I LIKE BATS — désormais numérisé en 2K à partir du négatif 35mm — est un film excentrique et divertissant qui embrasse ses influences gothiques sans jamais s’éloigner de l’humour absurde qui fait sa particularité. Comme le dit un personnage : « Le rire est sain… même la mort affiche un sourire. » – Traduction: Kevin Laforest

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