"Alors... je jouais pour moi tout seul des vieux airs de Bud Powell, dont j'essayé de retrouver le phrasé... sans jamais y parvenir, parce que je ne parvenais jamais à rien..."
Intro inoubliable. La tendresse, le sourire pluvieux, l'ironie douce amère, la fragilité d'un mélancolique incurable, ce je ne sais quoi d'inconsolable qui passait dans ses yeux et qui laissait à penser que ce n'était pas "que" du jeu... Tout est là, dans cette scène magnifique et taillée sur mesure pour lui.
Certains se souviendront. Intro de "Beau Père" (1981), le très beau et très burné film de Blier, qu'on a un peu oublié... à tort.
Intro inoubliable. La tendresse, le sourire pluvieux, l'ironie douce amère, la fragilité d'un mélancolique incurable, ce je ne sais quoi d'inconsolable qui passait dans ses yeux et qui laissait à penser que ce n'était pas "que" du jeu... Tout est là, dans cette scène magnifique et taillée sur mesure pour lui.
Certains se souviendront. Intro de "Beau Père" (1981), le très beau et très burné film de Blier, qu'on a un peu oublié... à tort.