Shows watched in 2018.
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ep2-4. (01/18)
Le petit bonheur de retrouver les Gilmore et Stars Hollow ! Avouons que les quatre épisodes du revival ne sont pas complétement réussis tout simplement parce que la série ne correspond pas au format 1 h 30. Certains personnages ont évolué de manière un peu out of character, surtout Rory qui devient la maîtresse de Logan et semble vite abandonner sa passion du journalisme. Ces quelques défauts évoqués, reconnaissons que le plaisir de retrouver les personnages prime. C'est comme revenir dans un petit cocon où il y a des drames, certes, mais où tout le monde est attentionné et bienveillant. Les Gilmore Girls, c'est la douceur du retour dans un lieu connu avec des gens aimés. La dernière scène laisse présager un futur de mère (célibataire ?) pour Rory. En saurons-nous plus un jour ?
Le petit bonheur de retrouver les Gilmore et Stars Hollow ! Avouons que les quatre épisodes du revival ne sont pas complétement réussis tout simplement parce que la série ne correspond pas au format 1 h 30. Certains personnages ont évolué de manière un peu out of character, surtout Rory qui devient la maîtresse de Logan et semble vite abandonner sa passion du journalisme. Ces quelques défauts évoqués, reconnaissons que le plaisir de retrouver les personnages prime. C'est comme revenir dans un petit cocon où il y a des drames, certes, mais où tout le monde est attentionné et bienveillant. Les Gilmore Girls, c'est la douceur du retour dans un lieu connu avec des gens aimés. La dernière scène laisse présager un futur de mère (célibataire ?) pour Rory. En saurons-nous plus un jour ?
vanessa's rating:

American Horror Story (2011)
s5. (01-02/18)
Loin d'être une réussite, je me demande même pourquoi je me suis infligé les 12 épisodes. Les acteurs sont bons, la réalisation soignée et inventive, mais où est le scénario ? On se le demande tant les épisodes semblent constitués de bouts de séquences tape à l’œil destinées à effrayer, exciter, choquer ou tout ça à la fois. Aucun histoire, aucun fond. Bref, véritable déception.
5/10, pour les acteurs et la réalisation. Sinon, on serait vite à 3 ou 4. Et la série descend de 6 à 5/10.
Loin d'être une réussite, je me demande même pourquoi je me suis infligé les 12 épisodes. Les acteurs sont bons, la réalisation soignée et inventive, mais où est le scénario ? On se le demande tant les épisodes semblent constitués de bouts de séquences tape à l’œil destinées à effrayer, exciter, choquer ou tout ça à la fois. Aucun histoire, aucun fond. Bref, véritable déception.
5/10, pour les acteurs et la réalisation. Sinon, on serait vite à 3 ou 4. Et la série descend de 6 à 5/10.
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mini-série, 3 eps. (01/18)
Une pointe de déception après le visionnage de ces trois épisodes. La critique était dithyrambique, je m'attendais donc à quelque chose de fort. Or, si la mise en scène est inventive, très onirique, quelque chose manque. Une fois les personnages adultes, ça coince. Ce ne sont pas les acteurs, mais autre chose. Cet aspect conte nuit peut-être à la crédibilité des personnages, qui suscitent finalement bien peu d'empathie. Pas mal donc, mais pas essentiel.
Une pointe de déception après le visionnage de ces trois épisodes. La critique était dithyrambique, je m'attendais donc à quelque chose de fort. Or, si la mise en scène est inventive, très onirique, quelque chose manque. Une fois les personnages adultes, ça coince. Ce ne sont pas les acteurs, mais autre chose. Cet aspect conte nuit peut-être à la crédibilité des personnages, qui suscitent finalement bien peu d'empathie. Pas mal donc, mais pas essentiel.
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mini-série, 4 eps. (01/18)
Enquête au cœur de la Guyane, Maroni installe une ambiance particulière dès son premier épisode, entre rituels vaudous et croyances ancestrales. Le meurtre d'un couple et l'enlèvement de leur enfant permet aux enquêteurs de remonter la piste de nombreuses disparitions d'enfants. Plutôt pas mal faite, la série vaut surtout pour sa superbe réalisation. En quatre épisodes, la résolution est assez rapide et le mystère n'a malheureusement pas le temps de s'épaissir autant qu'on l'aurait souhaité. Mais elle production, à découvrir.
Enquête au cœur de la Guyane, Maroni installe une ambiance particulière dès son premier épisode, entre rituels vaudous et croyances ancestrales. Le meurtre d'un couple et l'enlèvement de leur enfant permet aux enquêteurs de remonter la piste de nombreuses disparitions d'enfants. Plutôt pas mal faite, la série vaut surtout pour sa superbe réalisation. En quatre épisodes, la résolution est assez rapide et le mystère n'a malheureusement pas le temps de s'épaissir autant qu'on l'aurait souhaité. Mais elle production, à découvrir.
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Big Little Lies (2017)
s1. (02/18)
Une semaine. Il ne m'aura fallu qu'une semaine pour être complétement conquise et terminer ces 7 épisodes. La tension s'installe doucement, insidieusement, il est question de viol, de violence conjugale, de harcèlement scolaire, autant de réalités qui prennent bien trop de place dans notre société. En traiter de manière aussi juste dans une série de qualité est une formidable idée, qui plus est mise en valeur par une réalisation inspirée et un jeu d'acteurs d'une qualité indéniable. Sans oublier l'amitié (et la solidarité) féminine, au cœur même de l'histoire. Un bijou à découvrir sans plus attendre.
Une semaine. Il ne m'aura fallu qu'une semaine pour être complétement conquise et terminer ces 7 épisodes. La tension s'installe doucement, insidieusement, il est question de viol, de violence conjugale, de harcèlement scolaire, autant de réalités qui prennent bien trop de place dans notre société. En traiter de manière aussi juste dans une série de qualité est une formidable idée, qui plus est mise en valeur par une réalisation inspirée et un jeu d'acteurs d'une qualité indéniable. Sans oublier l'amitié (et la solidarité) féminine, au cœur même de l'histoire. Un bijou à découvrir sans plus attendre.
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The Fall (2013)
s3. (02/18)
Un peu déçue par cette troisième et dernière saison. La tension est toujours bel et bien là, mais elle monte doucement, très doucement. De l'hospitalisation de Paul après qu'on lui ait tiré dessus à son suicide dans le dernier épisode, trop peu de face à face avec Stella, qui sont pourtant l'essence même de la série. Et trop de dialogues ou de scènes qui, certes, nourrissent le climat pesant, mais finissent par entraîner le spectateur dans l'ennui.
6/10 pour cette saison donc.
Un peu déçue par cette troisième et dernière saison. La tension est toujours bel et bien là, mais elle monte doucement, très doucement. De l'hospitalisation de Paul après qu'on lui ait tiré dessus à son suicide dans le dernier épisode, trop peu de face à face avec Stella, qui sont pourtant l'essence même de la série. Et trop de dialogues ou de scènes qui, certes, nourrissent le climat pesant, mais finissent par entraîner le spectateur dans l'ennui.
6/10 pour cette saison donc.
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Rizzoli & Isles (2010-2016) (2010)
s7. (02-03/18)
Une dernière saison plutôt réussie, oscillant toujours entre enquêtes pas trop compliquées et humour des situations. La fin était plutôt émouvante bien qu'un peu facile : Korzack part à la retraite, Frankie prend du galon et va se marier avec Nina, Angela se remet avec Ron et va s'occuper de son petit-fils, Maura prend un congé exceptionnel pour aller écrire son livre à Paris et Jane part travailler comme formatrice au FBI... après avoir passé un mois avec Maura à Paris ! Une série très sympathique.
Une dernière saison plutôt réussie, oscillant toujours entre enquêtes pas trop compliquées et humour des situations. La fin était plutôt émouvante bien qu'un peu facile : Korzack part à la retraite, Frankie prend du galon et va se marier avec Nina, Angela se remet avec Ron et va s'occuper de son petit-fils, Maura prend un congé exceptionnel pour aller écrire son livre à Paris et Jane part travailler comme formatrice au FBI... après avoir passé un mois avec Maura à Paris ! Une série très sympathique.
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13 Reasons Why (2017)
s1. (02-03/18)
Une série sur le harcèlement scolaire et la dépression menant au suicide, bravo. Si ces quelques épisodes peuvent donner des clés aux jeunes en souffrance, mais aussi aux adultes qui les entourent (parents comme corps enseignant), c'est un très grand pas.
Concernant la série à proprement parler maintenant, elle est de bonne facture mais reste tout de même en deçà de ce qu'on pouvait en attendre. Le procédé narratif 13 raisons pour 13 épisodes est assez casse gueule : certains épisodes confinent clairement au remplissage. Ce qui est d'autant plus dommage que quelques personnages pourraient être approfondis : Tony et son lien à Hannah (pourquoi devient-il le détenteur des cassettes et des secrets de cette dernière alors qu'on ne les voit pratiquement jamais ensemble ?), Zach et Sheri, Skye même si elle n'est pas liée au suicide... La série monte en puissance à partir de la moitié de la saison et tous les acteurs sont convaincants. La saison termine de manière très ouverte... avec l'annonce d'une 2e salve d'épisodes, il ne nous reste plus qu'à patienter.
Une série sur le harcèlement scolaire et la dépression menant au suicide, bravo. Si ces quelques épisodes peuvent donner des clés aux jeunes en souffrance, mais aussi aux adultes qui les entourent (parents comme corps enseignant), c'est un très grand pas.
Concernant la série à proprement parler maintenant, elle est de bonne facture mais reste tout de même en deçà de ce qu'on pouvait en attendre. Le procédé narratif 13 raisons pour 13 épisodes est assez casse gueule : certains épisodes confinent clairement au remplissage. Ce qui est d'autant plus dommage que quelques personnages pourraient être approfondis : Tony et son lien à Hannah (pourquoi devient-il le détenteur des cassettes et des secrets de cette dernière alors qu'on ne les voit pratiquement jamais ensemble ?), Zach et Sheri, Skye même si elle n'est pas liée au suicide... La série monte en puissance à partir de la moitié de la saison et tous les acteurs sont convaincants. La saison termine de manière très ouverte... avec l'annonce d'une 2e salve d'épisodes, il ne nous reste plus qu'à patienter.
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I Love You Two (2017)
mini-série, 3 eps. (03/18)
Pas trop mal, mais loin d'être révolutionnaire, cette mini-série vaut surtout pour son message : l'amour avant tout. Bi, homo, hétéro, peu importe. Eh oui, il est même possible d'avoir des enfants. La série opte pour l'humour, mais ne réussit pas complétement son pari car on du mal à croire au personnage d'Hector. Comment un quadra peut se lancer pendant un an dans une double vie de couple avec deux bébés à la clé ? Ca semble énorme. D'autant que les autres personnages évoluent de manière plutôt réaliste jusqu'à la conclusion, sympathique, ouverte et pleine d'espoir, mais qui manque de mordant quand on sait les fous furieux, très nombreux, qui militent contre l'homosexualité et le droit de tout un chacun d'avoir des enfants.
Pas trop mal, mais loin d'être révolutionnaire, cette mini-série vaut surtout pour son message : l'amour avant tout. Bi, homo, hétéro, peu importe. Eh oui, il est même possible d'avoir des enfants. La série opte pour l'humour, mais ne réussit pas complétement son pari car on du mal à croire au personnage d'Hector. Comment un quadra peut se lancer pendant un an dans une double vie de couple avec deux bébés à la clé ? Ca semble énorme. D'autant que les autres personnages évoluent de manière plutôt réaliste jusqu'à la conclusion, sympathique, ouverte et pleine d'espoir, mais qui manque de mordant quand on sait les fous furieux, très nombreux, qui militent contre l'homosexualité et le droit de tout un chacun d'avoir des enfants.
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Grey's Anatomy (2005)
s14. (03-05/18)
Une saison plutôt réussie où l'on retrouve la recette qui a fait le bonheur de la série : du drama, de l'humour et des personnages attachants. C'est donc avec plaisir qu'on suit les pérégrinations affectives de tous ces médecins. Certains épisodes sont meilleurs que les autres, mais dans l'ensemble le cocktail est toujours efficace. Un tour de force de durer depuis 14 ans.
Une saison plutôt réussie où l'on retrouve la recette qui a fait le bonheur de la série : du drama, de l'humour et des personnages attachants. C'est donc avec plaisir qu'on suit les pérégrinations affectives de tous ces médecins. Certains épisodes sont meilleurs que les autres, mais dans l'ensemble le cocktail est toujours efficace. Un tour de force de durer depuis 14 ans.
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Black Mirror (2011)
s3. (04-05/18)
s4. (05/18-12/19)
Agréablement surprise par cette saison de laquelle je n'attendais pas grand-chose si ce n'est le fameux San Junipero (réputation méritée !). En restant du côté de la dénonciation des mauvais usages des nouvelles technologies, avec des épisodes pus ou moins proches de notre réalité, cette troisième saison tient en haleine. Quelques épisodes en deçà, notamment le 2e, mais dans l'ensemble la qualité est au rendez-vous, qu'il s'agisse de la réalisation, du scénario et du jeu d'acteurs. Bravo.
J'ai mis très longtemps à terminer la saison 4 (de mai 2018 à décembre 2019). Pas qu'elle soit mauvaise, mais j'ai préféré intercaler les épisodes unitaires à des périodes précises (avant les vacances, par exemple). Je garde un souvenir assez mitigé des épisodes, le dernier vraiment réussi mais d'autres pas vraiment passionnants. Difficile en 60 mn de raconter de vraies histoires, avec une dénonciation de la société actuelle et ses dérives, au bout de 4 saisons. Je pense regarder la saison 5, mais au même rythme que celle-ci !
s4. (05/18-12/19)
Agréablement surprise par cette saison de laquelle je n'attendais pas grand-chose si ce n'est le fameux San Junipero (réputation méritée !). En restant du côté de la dénonciation des mauvais usages des nouvelles technologies, avec des épisodes pus ou moins proches de notre réalité, cette troisième saison tient en haleine. Quelques épisodes en deçà, notamment le 2e, mais dans l'ensemble la qualité est au rendez-vous, qu'il s'agisse de la réalisation, du scénario et du jeu d'acteurs. Bravo.
J'ai mis très longtemps à terminer la saison 4 (de mai 2018 à décembre 2019). Pas qu'elle soit mauvaise, mais j'ai préféré intercaler les épisodes unitaires à des périodes précises (avant les vacances, par exemple). Je garde un souvenir assez mitigé des épisodes, le dernier vraiment réussi mais d'autres pas vraiment passionnants. Difficile en 60 mn de raconter de vraies histoires, avec une dénonciation de la société actuelle et ses dérives, au bout de 4 saisons. Je pense regarder la saison 5, mais au même rythme que celle-ci !
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The Handmaid's Tale (2017)
s2. (04-08/18)
Peut-être un peu moins bonne que la saison précédente (moins subtile ? effet de surprise dissipé ?), cette nouvelle salve d'épisodes nous met à rude épreuve. On retrouve June libre, enfin presque puisqu'elle n'a pas encore rejoint le Canada. Comme on pouvait s'en douter, elle n'y parviendra pas et sera condamnée à rester chez les Waterford jusqu'à ce que son enfant naisse. Certaines scènes sont insoutenables, la tension est très forte et les acteurs tous formidables. On vit ce que vivent les personnages, même l'odieuse Serena qui parvient à émouvoir tant le personnage est complexe. A la fin de la saison, June décide de ne pas s'enfuir malgré la liberté qui lui tend les bras. Elle ne peut se résoudre à abandonner Hannah (et les producteurs à abandonner leur show). RDV donc pour une 3e saison !
Peut-être un peu moins bonne que la saison précédente (moins subtile ? effet de surprise dissipé ?), cette nouvelle salve d'épisodes nous met à rude épreuve. On retrouve June libre, enfin presque puisqu'elle n'a pas encore rejoint le Canada. Comme on pouvait s'en douter, elle n'y parviendra pas et sera condamnée à rester chez les Waterford jusqu'à ce que son enfant naisse. Certaines scènes sont insoutenables, la tension est très forte et les acteurs tous formidables. On vit ce que vivent les personnages, même l'odieuse Serena qui parvient à émouvoir tant le personnage est complexe. A la fin de la saison, June décide de ne pas s'enfuir malgré la liberté qui lui tend les bras. Elle ne peut se résoudre à abandonner Hannah (et les producteurs à abandonner leur show). RDV donc pour une 3e saison !
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Three Girls (2017)
s1. mini-serie en 3 eps. (06/18)
Mini-série en trois épisodes éprouvante, car inspirée d'un fait réel. En Angleterre, dans les années 2000, nombre de jeunes filles blanches peu surveillées par leurs parents se sont retrouvées à la merci d'un groupe de Pakistanais qui les violaient et les prostituaient. La police ne les a pas écoutées ni aidées par peur d'être traitée de raciste. C'est cette histoire que reprennent ces trois épisodes où l'on ressent bien la détresse de ces jeunes filles abandonnées, trahies non seulement par les hommes, mais aussi par tout un système qui a tendance à les incriminer. Une mini-série nécessaire tant elle montre plusieurs des aspects dégoutants de notre société.
Mini-série en trois épisodes éprouvante, car inspirée d'un fait réel. En Angleterre, dans les années 2000, nombre de jeunes filles blanches peu surveillées par leurs parents se sont retrouvées à la merci d'un groupe de Pakistanais qui les violaient et les prostituaient. La police ne les a pas écoutées ni aidées par peur d'être traitée de raciste. C'est cette histoire que reprennent ces trois épisodes où l'on ressent bien la détresse de ces jeunes filles abandonnées, trahies non seulement par les hommes, mais aussi par tout un système qui a tendance à les incriminer. Une mini-série nécessaire tant elle montre plusieurs des aspects dégoutants de notre société.
vanessa's rating:

s3. (06/18)
Peut-être un peu plus longue à démarrer que les saisons précédentes, cette troisième salve d'épisodes de Tunnel est toujours aussi riche. Karl, Elise et leurs équipes enquêtent sur des enlèvements et des morts liés à une femme originaire d'ex-Yougoslavie à la recherche de son fils, pris par des passeurs durant la guerre. L'intrigue principale se déroule petit à petit, de manière toujours cohérente, alors que des stroylines secondaires se mettent en place. Le dénouement sera très rude, avec un véritable choix moral pour Karl qui ne parviendra pas à se décider... ce qu'Elise fera pour lui en se suicidant sauvant ainsi onze innocents. Une série solide qui mériterait d'être plus connue.
Peut-être un peu plus longue à démarrer que les saisons précédentes, cette troisième salve d'épisodes de Tunnel est toujours aussi riche. Karl, Elise et leurs équipes enquêtent sur des enlèvements et des morts liés à une femme originaire d'ex-Yougoslavie à la recherche de son fils, pris par des passeurs durant la guerre. L'intrigue principale se déroule petit à petit, de manière toujours cohérente, alors que des stroylines secondaires se mettent en place. Le dénouement sera très rude, avec un véritable choix moral pour Karl qui ne parviendra pas à se décider... ce qu'Elise fera pour lui en se suicidant sauvant ainsi onze innocents. Une série solide qui mériterait d'être plus connue.
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The Bletchley Circle (2012)
s2. (06/18)
Deux enquêtes en deux épisodes d'1h30 (ou 4 de 45 mn) pour cette deuxième saison. L'ambiance Londres années 1950 est toujours bien retranscrite et les personnages sont attachants. Les enquêtes ne sont pas trop mal tournées quoi qu'un peu plus simples à résoudre qu'en première saison. Une mini-série intéressante.
Deux enquêtes en deux épisodes d'1h30 (ou 4 de 45 mn) pour cette deuxième saison. L'ambiance Londres années 1950 est toujours bien retranscrite et les personnages sont attachants. Les enquêtes ne sont pas trop mal tournées quoi qu'un peu plus simples à résoudre qu'en première saison. Une mini-série intéressante.
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Au service de la France (2015)
s2. (06-07/18)
Toujours aussi couillons, nos agents secrets au service de la France repartent pour de nouvelles missions ! Cette fois, le duel Mercaillon-Merlaux est au cœur du récit, avec une belle implication de Moïse mais aussi de Marie-Jo, dont le personnage gagne sacrément en épaisseur. La saison reste légère tout en dénonçant les préjugés et la bêtise crasse. Une réussite.
Toujours aussi couillons, nos agents secrets au service de la France repartent pour de nouvelles missions ! Cette fois, le duel Mercaillon-Merlaux est au cœur du récit, avec une belle implication de Moïse mais aussi de Marie-Jo, dont le personnage gagne sacrément en épaisseur. La saison reste légère tout en dénonçant les préjugés et la bêtise crasse. Une réussite.
vanessa's rating:

Orange Is the New Black (2013)
s6. (08-09/18)
Cette nouvelle saison reprend pile où s'était arrêtée la précédente : après l'émeute, les filles sont transférées dans le quartier de haute sécurité où elles sont interrogées par le FBI, qui cherche des boucs émissaires dans l'affaire Piscatella. Et c'est Taystee qui trinque, désignée par certaines codétenues (dont Cindy) qui cèdent au chantage des enquêteurs. La saison va, entre autres, suivre son procès et l'on voit bien comment les Afro-américains sont traités par les systèmes pénitentiaire et judiciaire... Parallèlement, les filles sont affectées dans différents blocs, une guerre régnant entre les blocs C et D depuis que deux sœurs crevant de jalousie ont pris les rênes de chacun d'eux. Barb et Carol, deux folles furieuses, qui finissent par s'entretuer ! Une storyline non exempte de drôlerie tant les deux sœurs sont follement pathétiques. De nouveaux personnages donc, certains réussis (les deux sœurs Denning, Daddy), d'autres inutiles (Badison), pimentent cette saison qui met un peu de temps à démarrer, mais offre toujours de beaux moments. Mention à la session karaoké de Caputo et Fig ainsi qu'aux dernières scènes de Diablo et Blanca. Une saison pas mauvaise du tout, diverstissante tout en traitant de problèmes de société. Vite, la suite !
Cette nouvelle saison reprend pile où s'était arrêtée la précédente : après l'émeute, les filles sont transférées dans le quartier de haute sécurité où elles sont interrogées par le FBI, qui cherche des boucs émissaires dans l'affaire Piscatella. Et c'est Taystee qui trinque, désignée par certaines codétenues (dont Cindy) qui cèdent au chantage des enquêteurs. La saison va, entre autres, suivre son procès et l'on voit bien comment les Afro-américains sont traités par les systèmes pénitentiaire et judiciaire... Parallèlement, les filles sont affectées dans différents blocs, une guerre régnant entre les blocs C et D depuis que deux sœurs crevant de jalousie ont pris les rênes de chacun d'eux. Barb et Carol, deux folles furieuses, qui finissent par s'entretuer ! Une storyline non exempte de drôlerie tant les deux sœurs sont follement pathétiques. De nouveaux personnages donc, certains réussis (les deux sœurs Denning, Daddy), d'autres inutiles (Badison), pimentent cette saison qui met un peu de temps à démarrer, mais offre toujours de beaux moments. Mention à la session karaoké de Caputo et Fig ainsi qu'aux dernières scènes de Diablo et Blanca. Une saison pas mauvaise du tout, diverstissante tout en traitant de problèmes de société. Vite, la suite !
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Sharp Objects (2018)
s1. mini-série en 8 eps. (09/18)
Adaptée d'un roman de Gillian Flynn, Sharp Objects fascine autant qu'elle interroge. Revenue dans la ville où elle a grandi pour les besoins d'un article sur le meurtre de deux jeunes filles, Camille voit remonter à la surface des problèmes et tensions qu'elle était loin d'avoir réglés. Dans ce village aux habitants avides de potins, où tout le monde juge tout le monde, elle est surtout confrontée à sa mère, femme aussi possessive qu'elle est froide. Lentement, les enjeux se précisent. Il faut laisser infuser, ressentir le poids de cette atmosphère du Missouri pour réellement se laisser prendre au jeu. Car plus qu'une enquête policière, il s'agit de l'analyse des relations au sein d'une famille dysfonctionnelle. Une partie du dénouement a de quoi surprendre ! Un belle mini-série, très justement interprétée par Amy Adams et Patricia Clarkson, et magnifiquement réalisée par Jean-Marc Vallée. Une réussite !
Adaptée d'un roman de Gillian Flynn, Sharp Objects fascine autant qu'elle interroge. Revenue dans la ville où elle a grandi pour les besoins d'un article sur le meurtre de deux jeunes filles, Camille voit remonter à la surface des problèmes et tensions qu'elle était loin d'avoir réglés. Dans ce village aux habitants avides de potins, où tout le monde juge tout le monde, elle est surtout confrontée à sa mère, femme aussi possessive qu'elle est froide. Lentement, les enjeux se précisent. Il faut laisser infuser, ressentir le poids de cette atmosphère du Missouri pour réellement se laisser prendre au jeu. Car plus qu'une enquête policière, il s'agit de l'analyse des relations au sein d'une famille dysfonctionnelle. Une partie du dénouement a de quoi surprendre ! Un belle mini-série, très justement interprétée par Amy Adams et Patricia Clarkson, et magnifiquement réalisée par Jean-Marc Vallée. Une réussite !
vanessa's rating:

s1. (09/18)
Suite de P'tit Quinquin, diffusée il y a trois ans, Coin coin lui ressemble pas mal : même personnages perchés, burlesque ahurissant parfois un peu trop poussé. Ici, il n'est pas question d'empathie ou d'attachement aux personnages, mais plus de second degré et de mise en perspective des situations. Et ça fonctionne pas mal même si ce n'est pas mon style favori.
Suite de P'tit Quinquin, diffusée il y a trois ans, Coin coin lui ressemble pas mal : même personnages perchés, burlesque ahurissant parfois un peu trop poussé. Ici, il n'est pas question d'empathie ou d'attachement aux personnages, mais plus de second degré et de mise en perspective des situations. Et ça fonctionne pas mal même si ce n'est pas mon style favori.
vanessa's rating:

s2. (10/18)
Quelle bonne série ! On retrouve les Grønnegaard à peu près où on les avait quittés et même si plusieurs années ont passé entre la diffusion des deux saisons, la sensation est le même que lorsque l'on revoit des membres de notre famille qui vivent loin. On se retrouve instantanément. Durant ces sept épisodes, les tensions augmentent, les incompréhensions sont telles que les frères et sœurs (notamment) s'entredéchirent alors que tous agissent - la plupart du temps - dans le seul but de protéger ou d'aider les autres. Comme dans la vraie vie. Très réaliste, la série nous fait pénétrer dans une famille très unie malgré les dissensions, les différences et les rancœurs et c'est d'autant plus réussi que les comédiens sont formidables. Beau tout en étant rude.
Quelle bonne série ! On retrouve les Grønnegaard à peu près où on les avait quittés et même si plusieurs années ont passé entre la diffusion des deux saisons, la sensation est le même que lorsque l'on revoit des membres de notre famille qui vivent loin. On se retrouve instantanément. Durant ces sept épisodes, les tensions augmentent, les incompréhensions sont telles que les frères et sœurs (notamment) s'entredéchirent alors que tous agissent - la plupart du temps - dans le seul but de protéger ou d'aider les autres. Comme dans la vraie vie. Très réaliste, la série nous fait pénétrer dans une famille très unie malgré les dissensions, les différences et les rancœurs et c'est d'autant plus réussi que les comédiens sont formidables. Beau tout en étant rude.
vanessa's rating:

The Team (2015)
s2. (10/18)
Nouvelle équipe, nouvelle enquête. Il aura fallu attendre un moment pour voir la deuxième saison de cette coproduction européenne arriver sur nos écrans. Et aucune déception ! La série mêle habilement terrorisme, trafic d'art et guerre en Syrie, un peu à la Homeland, le tout relevé par un groupe d'acteurs éclectiques parlant danois, allemand, flamand, anglais et même français. L'enquête est très bien menée, le suspense tient, une bonne surprise.
6 -- 7
Nouvelle équipe, nouvelle enquête. Il aura fallu attendre un moment pour voir la deuxième saison de cette coproduction européenne arriver sur nos écrans. Et aucune déception ! La série mêle habilement terrorisme, trafic d'art et guerre en Syrie, un peu à la Homeland, le tout relevé par un groupe d'acteurs éclectiques parlant danois, allemand, flamand, anglais et même français. L'enquête est très bien menée, le suspense tient, une bonne surprise.
6 -- 7
vanessa's rating:

True Detective (2014)
s1. (09-10/18)
Après des années à entendre et lire partout que cette saison 1 est la meilleure vue depuis si longtemps, eh bien la déception est palpable. La réalisation frôle la perfection, rien à redire. Les acteurs sont bons, le scénario pas mauvais quoique n'apportant rien de bien nouveau au pays des séries ou films à intrigue policière. Mais ce qui plombe le tout, ce sont les discours pseudo-philosophiques extrêmement pompeux débités d'une voix monocorde qui n'ont pour effet que de plonger le spectateur dans les bras de Morphée. La saison est bien loin d'être mauvaise, mais l'engouement qu'elle a suscité est quasi incompréhensible. Reste donc des épisodes corrects, si l'on fait la balance des plus et des moins. Juste corrects.
Après des années à entendre et lire partout que cette saison 1 est la meilleure vue depuis si longtemps, eh bien la déception est palpable. La réalisation frôle la perfection, rien à redire. Les acteurs sont bons, le scénario pas mauvais quoique n'apportant rien de bien nouveau au pays des séries ou films à intrigue policière. Mais ce qui plombe le tout, ce sont les discours pseudo-philosophiques extrêmement pompeux débités d'une voix monocorde qui n'ont pour effet que de plonger le spectateur dans les bras de Morphée. La saison est bien loin d'être mauvaise, mais l'engouement qu'elle a suscité est quasi incompréhensible. Reste donc des épisodes corrects, si l'on fait la balance des plus et des moins. Juste corrects.
vanessa's rating:

s1. (11/18)
Plus profonde que purement horrifique, la série ausculte durant 10 épisodes les traumas d'une fratrie désunie par un événement parvenu dans la grande maison de leur enfance. Tous les personnages, de l'empathique Theodora qui a préféré construire un mur autour d'elle aux jumeaux Eleanor, dépressive chronique, et Luke, accro à l'héroïne, en passant par Steve, qui réécrit des histoires de fantômes pour évacuer ou Shirley devenue propriétaire d'un salon funéraire pour maîtriser la mort, tous se débrouillent plus ou moins bien avec leur malêtre. Qu'on les suive enfants dans la fameuse maison avec leurs parents ou adultes chacun de leur côté puis ensemble, la justesse de leur relation touche infiniment tant sa description est juste. Tout comme le lien entretenu avec les parents : tous deux se battent à leur manière pour préserver leurs petits de l'horreur du monde... ce qui peut mener à la perte. La série tisse un lien si fort entre personnages et spectateurs que chacune de leurs épreuves nous touche intimement. Une réussite, qui hante longtemps.
Et Theodora est juste LE personnage parfait.
Plus profonde que purement horrifique, la série ausculte durant 10 épisodes les traumas d'une fratrie désunie par un événement parvenu dans la grande maison de leur enfance. Tous les personnages, de l'empathique Theodora qui a préféré construire un mur autour d'elle aux jumeaux Eleanor, dépressive chronique, et Luke, accro à l'héroïne, en passant par Steve, qui réécrit des histoires de fantômes pour évacuer ou Shirley devenue propriétaire d'un salon funéraire pour maîtriser la mort, tous se débrouillent plus ou moins bien avec leur malêtre. Qu'on les suive enfants dans la fameuse maison avec leurs parents ou adultes chacun de leur côté puis ensemble, la justesse de leur relation touche infiniment tant sa description est juste. Tout comme le lien entretenu avec les parents : tous deux se battent à leur manière pour préserver leurs petits de l'horreur du monde... ce qui peut mener à la perte. La série tisse un lien si fort entre personnages et spectateurs que chacune de leurs épreuves nous touche intimement. Une réussite, qui hante longtemps.
Et Theodora est juste LE personnage parfait.
vanessa's rating:

Ad Vitam (2018)
s1. (11/18)
Que ferions-nous si la vie éternelle nous attendait ? Sur cette question métaphysique plus qu'intéressante, Ad Vitam ne réussit à convaincre qu'à moitié. Et c'est bien dommage, car la thématique est on ne peut plus intéressante sans compter que la manière dont la série met les moins de 30 ans à part, car non encore apte à se régénérer, fait écho à ce qu'il se passe dans notre société avec de nombreux groupes de personnes. Si la réalisation est plutôt convaincante et le casting très bon, la série met pas mal de temps à décoller. On tourne un peu trop longtemps autour du pot alors qu'avec seulement six épisodes le tout aurait pu être plus dynamique.
Que ferions-nous si la vie éternelle nous attendait ? Sur cette question métaphysique plus qu'intéressante, Ad Vitam ne réussit à convaincre qu'à moitié. Et c'est bien dommage, car la thématique est on ne peut plus intéressante sans compter que la manière dont la série met les moins de 30 ans à part, car non encore apte à se régénérer, fait écho à ce qu'il se passe dans notre société avec de nombreux groupes de personnes. Si la réalisation est plutôt convaincante et le casting très bon, la série met pas mal de temps à décoller. On tourne un peu trop longtemps autour du pot alors qu'avec seulement six épisodes le tout aurait pu être plus dynamique.
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Call my agent! (2015)
s3. (11/18)
Toujours vachement sympa ! Dommage qu'il n'y ait que 6 épisodes par saison d'autant que plus on avance mieux les épisodes sont. Le début de saison était un peu lent, mais ensuite les magouilles des agents (coucou Matthias), les petites folies des employés d'ASK et des talents (Zaza, je t'aime) rendent les épisodes vraiment bons. On passe du rire à l'émotion tout en se faisant un malin plaisir à capter les clins d’œil au monde du cinéma. Un vrai plaisir à regarder !
Toujours vachement sympa ! Dommage qu'il n'y ait que 6 épisodes par saison d'autant que plus on avance mieux les épisodes sont. Le début de saison était un peu lent, mais ensuite les magouilles des agents (coucou Matthias), les petites folies des employés d'ASK et des talents (Zaza, je t'aime) rendent les épisodes vraiment bons. On passe du rire à l'émotion tout en se faisant un malin plaisir à capter les clins d’œil au monde du cinéma. Un vrai plaisir à regarder !
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Gypsy (2017)
s1. (12/18)
Intriguée par la présence de la grande Naomi Watts dans un série, j'ai tenté cette série Netflix à la critique assez mitigée. Si l'actrice ne déçoit pas, le scénario est effectivement un peu faible. Pourtant, tous les ingrédients étaient là pour proposer une série plus qu'intrigante...
Psychologue, mariée, un enfant, Jean a tendance à s'immiscer dans la vie de ses patients. Pour les aider ? Ce serait trop simple. Elle semble plutôt prendre plaisir à manipuler les gens. Nous la voyons donc à l’œuvre, c'est plutôt réussi, mais la série pêche par manque de rythme. On tourne beaucoup autour de la relation Jean-Sydney alors que nombre de personnages ne sont qu'esquissés (son mari, sa fille, sa mère...). Autant de personnages qui auraient pu conférer plus d'épaisseur à Jean, car si Naomi Watts est excellente il est difficile de faire avancer une série de 10 épisodes quasiment seule. Netflix l'ayant annulée illico presto, Gypsy n'aura pas de suite... ni de conclusion. Son dernier épisode laisse énormément de portes ouvertes.
Intriguée par la présence de la grande Naomi Watts dans un série, j'ai tenté cette série Netflix à la critique assez mitigée. Si l'actrice ne déçoit pas, le scénario est effectivement un peu faible. Pourtant, tous les ingrédients étaient là pour proposer une série plus qu'intrigante...
Psychologue, mariée, un enfant, Jean a tendance à s'immiscer dans la vie de ses patients. Pour les aider ? Ce serait trop simple. Elle semble plutôt prendre plaisir à manipuler les gens. Nous la voyons donc à l’œuvre, c'est plutôt réussi, mais la série pêche par manque de rythme. On tourne beaucoup autour de la relation Jean-Sydney alors que nombre de personnages ne sont qu'esquissés (son mari, sa fille, sa mère...). Autant de personnages qui auraient pu conférer plus d'épaisseur à Jean, car si Naomi Watts est excellente il est difficile de faire avancer une série de 10 épisodes quasiment seule. Netflix l'ayant annulée illico presto, Gypsy n'aura pas de suite... ni de conclusion. Son dernier épisode laisse énormément de portes ouvertes.
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Here and Now (2018)
s1. (12/18)
J'avais terriblement hâte de retrouver Alan Ball aux commandes d'une série, chose faite avec Here and Now. La série suit le quotidien d'une famille aisée de Portland, parents anciens hippies qui ont adopté trois enfants originaires de pays pauvres avant d'en concevoir un biologiquement. La majorité des personnages (sauf Duc, en fait) se révèlent attachants au fur et à mesure que les épisodes avancent même si les clichés restent nombreux. Malheureusement, la série n'aura qu'une saison, ce qui rend difficile de renouveler l'exploit SFU. Dommage d'autant que les acteurs sont plutôt bons et que certaines storylines, notamment celle de Ramon lorgnant sur le fantastique, resteront ouvertes...
J'avais terriblement hâte de retrouver Alan Ball aux commandes d'une série, chose faite avec Here and Now. La série suit le quotidien d'une famille aisée de Portland, parents anciens hippies qui ont adopté trois enfants originaires de pays pauvres avant d'en concevoir un biologiquement. La majorité des personnages (sauf Duc, en fait) se révèlent attachants au fur et à mesure que les épisodes avancent même si les clichés restent nombreux. Malheureusement, la série n'aura qu'une saison, ce qui rend difficile de renouveler l'exploit SFU. Dommage d'autant que les acteurs sont plutôt bons et que certaines storylines, notamment celle de Ramon lorgnant sur le fantastique, resteront ouvertes...
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